Claude Camous raconte : Marseille d’Altovitis, une jeune fille
prénommée Marseille, "Morte d’Amour" à l’aube du Grand Siècle

Etonnante destinée que celle de cette Marseillaise dont l’esprit rivalisait avec la beauté et qui eut la ville comme marraine et les consuls pour parrains, d’où son prénom.
Pour Claude Camous, elle est l’une de ces nombreuses femmes éliminées par la misogynie de l’Histoire et qui mérite de sortir de l’anonymat. Il a étudié de près sa vie et son amour passionné qui lui fut fatal, et il nous livre pour la toute première fois, les résultats de ses recherches. Il nous apprend que de son vivant et après ses funérailles dignes d’une reine que lui réserva la ville, une véritable légende s’édifia autour d’elle. On admirait ses poèmes mais dont hélas il ne reste que quelques vers épars que Claude Camous s’est efforcé de reconstituer pour nous, à l’occasion de cette rencontre qui sortira de l’ordinaire.
Quelques années après sa mort, on ouvrit son tombeau et on constata que son corps était intact, ce qui ne fit que conforter sa légende.