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Projection "Le camp des Juifs d’Ilana Salama Ortar",
en présence de la réalisatrice



En partenariat avec le GIP Marseille Rénovation Urbaine et le CIQ Hauts de Mazargues-la Cayolle et dans le cadre de l'exposition "Mémoires du quartier de La Cayolle, 1944-2019", qui se tient du 21 septembre 2019 au 7 juin 2020, le musée d'histoire de Marseille propose à nos adhérents ce documentaire de 27mn "Le camp des Juifs d’Ilana Salama Ortar", en présence de la réalisatrice.
Au début des années 1950, la famille d’Ilana Salama Ortar fut contrainte de quitter l’Egypte, avec pour tout document un laissez-passer. En route pour Israël, ils sont passés par "le camp des juifs" à Marseille.


Entrée libre dans la limite des 200 places disponibles. Début prévu 15 mn après l'heure indiquée.
Pour ceux et celles qui désirent se retrouver entre adhérent(e)s, vous pouvez échanger sur le forum et réfléchir à un point de ralliement.
Téléchargez le dépliant - programmation autour de l'expo "Mémoires du quartier de la Cayolle 1944 - 2019" du 21 septembre 2019 au 7 juin 2020.

Ilana Salama Ortar (Israël, 2005)
Née en 1949 en Égypte, vit et travaille à Francfort, Londres et Tel-Aviv.
Ilana Salama Ortar est née à Alexandrie en Égypte. Au début des années cinquante, sa famille doit quitter le pays, munie d’un simple laissez-passer. Ayant décidé d’immigrer en Israël, ils passent par le camp de transit Le Grand Arénas (connu comme le "Camp des Juifs") à Marseille. Cette expérience et son histoire familiale (sa famille descend de Juifs expulsés d’Espagne, qui ont erré en Europe avant de s’installer à Hébron en Palestine puis à Alexandrie) font qu’Ilana Salama Ortar a une sensibilité particulière pour les thèmes du déplacement, du déracinement, de la migration et de l’exil. Ses projets artistiques (Civic Performance Art) sont des installations et des performances interculturelles qui traitent de transition, migration, mobilité et mémoire et identité principalement dans des situations de conflit (guerre, occupation, ghettoïsation de communautés dans l’espace urbain) et leurs conséquences sur les individus, les groupes, les villes et les paysages. Civic Performance Art comprend des rencontres avec le public sous forme de performances et d’ateliers, des installations participatives, des dessins, des peintures, des films documentaires et expérimentaux, des maquettes et des modèles architecturaux.
 

Qu'y avait-il, ici même, avant le Leclerc ?
"Ce quartier a certainement influencé beaucoup de destinées. Pendant ces trois décennies il vit se croiser, se succéder des populations venues de tous horizons, de toutes origines, de toutes cultures. Ces familles avaient en commun, pour des raisons différentes mais toujours difficiles, voire tragiques : le déracinement. Elles partageaient attente, incertitude et espoir dans un avenir meilleur.
Des dizaines de milliers de personnes y ont transité, y ont cohabité, d’autres se sont sédentarisées et pour elles, et leurs enfants, là sont peut-être leurs nouvelles racines sans pour autant rompre les liens avec le lieu d’origine. Etre de la Cayolle cela veut dire quelque chose, c’est encore une identité, même pour les familles parties s’installer ailleurs depuis longtemps.
J’ai aimé, j’aime la Cayolle".
Dominique Puippe, l’auteur de ces lignes, était animateur social à la Cayolle dans les années 1970 et 1980. Il a parfaitement résumé le ressenti de tous les témoins de ce temps.

Quelles étaient ces populations ? Dans le désordre et en en oubliant :
- Des familles d’origine italienne, arrivées à Marseille à la fin du 19 ème siècle, devenues maraîchers qui ont façonné la terre à force de travail.
- Les habitants d’un petit village provençal qui a grandi avec la ville.
- Des Indochinois en attente d’un retour en Indochine.
- Des juifs marocains et tunisiens qui ont fait étape à la Cayolle et qui y ont attendu leur tour avant de rejoindre Israël.
- Des familles marseillaises sans logement à la suite des destructions de la guerre qui ont été accueillies dans une cité de relogement avant de rejoindre un logement définitif.
- Les habitants d’un bidonville rendu célèbre à Marseille par des journées portes ouvertes.
- Des familles immigrées maghrébines et des familles gitanes qui ont été accueillies dans trois générations de cités provisoires.



Tous ont partagé cette terre, sans grandes richesses, mais en y étant heureux !

C’est ce veulent faire ressortir les pages suivantes : Le Grand Arénas / Les tonneaux / La vie quotidienne dans les tonneaux – 1 / La vie quotidienne dans les tonneaux – 2 / La campagne Colgate / Les portes ouvertes au bidonville Colgate / La cité du relogement – Les Ilots / Les Ilots à la fin des années 1970 / Le camp gitan / La cité d’urgence – Chicago / La cité mobile du Baou – Mandarine / Le village / Les maraîchers / L’école / Le collège / Les transports / L’ATOM – La CIMADE / Soeurs Marie et Bénédicte

A l’origine de cette histoire se trouve la construction du Grand Arénas. Fernand Pouillon, l’architecte du Vieux Port, l’a décrite de manière très vivante dans ses mémoires. Quelques pages consacrées au quartier de la Cayolle : Fernand Pouillon – mémoires d’un architecte.
Samedi14Mars2020

Marseille 1er, Musée d'histoire

Film, documentaire

Heure de début : 14h45
Heure de fin : 16h00

Public : Tout public

Statut requis : Membre ou En Test

Gratuite

Gratuit
Gratuit

Cette sortie est terminée

Gestionnaire : Musée d'histoire de Marseille Animateur : Musée d'histoire de Marseille

Localisation

Auditorium du musée d’Histoire de Marseille
2 rue Henri-Barbusse 13001 Marseille
Prendre la passerelle avec le panonceau "Musée d'Histoire" entre le site archéologique de la Bourse et l'immeuble commercial centre Bourse

Métro M1 arrêt Vieux-Port ou Colbert
Métro M2 arrêt Noailles
Tram T2 arrêt Belsunce Alcazar
Bus 35, 49, 55

Parking Centre-Bourse
Projection "Le camp des Juifs d’Ilana Salama Ortar",
en présence de la réalisatrice

Liste des participants

Début de la sortie : Samedi 14 mars 2020 - 14h45

Entrée libre dans la limite des 200 places disponibles. Début prévu 15 mn après l'heure indiquée.
Pour ceux et celles qui désirent se retrouver entre adhérent(e)s, vous pouvez échanger sur le forum et réfléchir à un point de ralliement.

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Projection "Le camp des Juifs d’Ilana Salama Ortar",
en présence de la réalisatrice

Forum d'échange

Début de la sortie : Samedi 14 mars 2020 - 14h45

Entrée libre dans la limite des 200 places disponibles. Début prévu 15 mn après l'heure indiquée.
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